Culture
Le Service Correctionnel du Canada recrute des immigrants étrangers pour 40 emplacements
Ce programme permet aux individus sans expérience préalable dans le domaine de l’informatique de postuler pour des emplois en TI au sein du SCC en soumettant leur CV.
Le Service correctionnel du Canada (SCC) a récemment mis en place une nouvelle initiative pour recruter des professionnels en technologie de l’information (TI) dans 40 de ses emplacements à travers le pays.
Ce programme permet aux individus sans expérience préalable dans le domaine de l’informatique de postuler pour des emplois en TI au sein du SCC en soumettant leur CV.
Cette décision vise à combler les lacunes en matière de compétences technologiques au sein de l’organisation et à offrir de nouvelles opportunités de carrière aux personnes intéressées par le secteur de l’informatique.
Cette initiative du SCC est particulièrement intéressante, car elle ouvre la porte à des candidats qui n’ont pas nécessairement suivi un parcours traditionnel en informatique. Cela signifie que les individus issus de différents milieux et ayant diverses expériences peuvent postuler, même s’ils n’ont pas de formation formelle en TI.
Le SCC reconnaît ainsi que les compétences en TI peuvent être acquises de différentes manières et ne se limitent pas à un diplôme universitaire.
En acceptant les CV pour des emplois en TI sans expérience préalable, le SCC cherche à identifier des candidats talentueux et motivés qui ont la capacité d’apprendre rapidement et de s’adapter à un environnement en constante évolution.
Les compétences clés recherchées peuvent inclure la programmation, l’administration de systèmes, la sécurité informatique, la gestion de bases de données, le soutien technique et bien d’autres.
Le processus de sélection comprendra probablement une évaluation minutieuse des CV reçus, ainsi que des entretiens pour évaluer les compétences techniques, la motivation et l’aptitude des candidats à travailler dans un environnement carcéral.
Bien que l’absence d’expérience préalable ne soit pas un obstacle pour postuler, les candidats devront démontrer leur intérêt et leur volonté d’apprendre et de contribuer de manière positive au mandat du SCC.
Il est important de noter que même si cette initiative permet aux candidats sans expérience préalable de postuler, la concurrence pour ces postes en TI peut être intense. Les emplois en TI sont très recherchés de nos jours, et les candidats avec une expérience ou une formation formelle auront toujours un avantage certain.
Néanmoins, cette nouvelle approche du SCC offre une opportunité intéressante pour ceux qui souhaitent se lancer dans le domaine de l’informatique, mais qui n’ont pas eu l’occasion de le faire auparavant.
En offrant des emplois en TI aux personnes sans expérience préalable, le SCC peut également contribuer à la diversification de sa main-d’œuvre et à l’inclusion de personnes provenant de différents horizons. Cela peut apporter de nouvelles perspectives et idées à l’organisation, favorisant ainsi l’innovation et l’amélioration continue de ses services.
La nouvelle initiative du SCC qui accepte les CV pour des emplois en TI dans 40 emplacements sans expérience préalable offre une opportunité unique aux personnes intéressées par le secteur de l’informatique.
Cette décision témoigne de la reconnaissance du SCC envers les compétences technologiques acquises de différentes manières et offre une chance aux candidats talentueux et motivés d’entrer dans le domaine de l’informatique, même s’ils n’ont pas de formation ou d’expérience antérieure.
En rejoignant le SCC en tant que professionnels en TI, les candidats pourront contribuer à des initiatives importantes visant à améliorer les systèmes et les services informatiques au sein du système correctionnel. Ils pourront travailler sur des projets liés à la sécurité des données, à l’optimisation des processus, à la modernisation des systèmes et à l’amélioration de l’efficacité globale de l’organisation.
De plus, le SCC offre un environnement de travail diversifié et stimulant. Les professionnels en TI auront l’opportunité de collaborer avec d’autres experts en informatique, ainsi qu’avec des professionnels du domaine correctionnel.
Cela leur permettra d’acquérir une expérience précieuse en matière de travail d’équipe, de résolution de problèmes et de gestion de projets, tout en contribuant à un objectif social important, celui de la réhabilitation des délinquants et de la sécurité publique.
Il est également important de souligner que le SCC offre des possibilités de développement professionnel et de progression de carrière aux employés motivés. Les personnes qui se lancent dans ce programme auront la possibilité de suivre des formations internes, de participer à des programmes de mentorat et d’acquérir des certifications pertinentes dans le domaine des TI.
En fin de compte, la nouvelle initiative du SCC qui accepte les CV pour des emplois en TI dans 40 emplacements sans expérience préalable est une occasion unique et prometteuse pour les personnes intéressées par le secteur de l’informatique. Cela démontre de la volonté du SCC de diversifier sa main-d’œuvre et d’ouvrir des portes à ceux qui ont la passion et la volonté d’apprendre.
Comment postuler ? Où trouver les différentes positions ? Quels sont les critères d’admissibilités ? Veuillez vous rendre sur les liens ci-dessous :
https://csc-scc.gc.ca/
https://www.csc-scc.gc.ca/careers/003001-index-fr.shtml
https://www.csc-scc.gc.ca/003/001/003001-0002-fr.shtml
https://www.csc-scc.gc.ca/003/001/003001-0009-fr.shtml
Source : Service Correctionnel du Canada
Crédit photo : Le guide
Herby N. Déronselé
Voici une histoire fictive inspirante intitulée “Jean Bertrand : Un Voyage agité d’Haïti au Canada et retour à la maison”. Les événements et les personnages décrits dans cet article sont purement imaginaires et ne sont pas basés sur des faits réels.
Jean Bertrand, un courageux immigrant originaire d’Haïti, entreprend un voyage incertain en quittant son pays natal pour venir étudier au Canada. Déchiré entre l’espoir d’une vie meilleure et le déchirement de laisser derrière lui sa maman Romaya, ses deux petits frères Amos et Jean Mary, et sa petite sœur Lindsey, Jean Bertrand s’envole vers l’inconnu. Malheureusement, son parcours au Canada ne se déroule pas comme il l’avait prévu..
À son arrivée au Canada, Jean Bertrand est confronté à de nombreuses difficultés. Sous l’influence de mauvaises personnes et de compagnies peu recommandables, il se retrouve rapidement pris au piège d’un cercle vicieux d’abus de drogues et d’alcool. Cette descente aux enfers le conduit à négliger ses études, mettant ainsi en péril son rêve de réussite académique et professionnelle.
La dépendance de Jean Bertrand à la drogue et à l’alcool l’entraîne dans une spirale incontrôlable, le conduisant à commettre des actes répréhensibles et entraînant l’apparition d’un casier judiciaire. Les conséquences de ses actes ont finalement rattrapé le jeune homme, et les autorités canadiennes décident de le renvoyer dans son pays d’origine, Haïti.
Le retour en Haïti marque le début d’une nouvelle étape difficile pour Jean Bertrand. Face à ses erreurs passées, il ressent le poids du regret et de la culpabilité. Toutefois, au lieu de se laisser submerger par le désespoir, il décide de faire face à ses démons intérieurs et de se réconcilier avec son passé.
Reconnecter avec sa famille est un moment de guérison pour Jean Bertrand. En renouant avec ses racines, il retrouve le soutien et l’amour inconditionnel de sa maman, de ses frères et de sa sœur. Ces retrouvailles lui offrent une nouvelle perspective sur la vie et l’aident à se reconstruire progressivement.
En se libérant de ses dépendances, Jean Bertrand entame un cheminement vers la rédemption. Il entreprend des démarches pour réparer les torts causés par ses actions passées, cherchant à se racheter auprès de la société et de ceux qu’il a blessés. Ses efforts pour se réinsérer dans la communauté haïtienne le rapprochent de sa véritable identité et de son potentiel.
Le parcours de Jean Bertrand est marqué par des hauts et des bas, mais il trouve la force de se relever après chaque épreuve. Il devient un exemple inspirant de résilience et de détermination, démontrant que la rédemption est possible pour ceux qui choisissent de changer leur destin.
L’histoire de Jean Bertrand est une leçon de vie puissante sur les conséquences des mauvais choix et l’importance de la rédemption. Son parcours tumultueux, marqué par des erreurs et des défis, dépeint également le pouvoir de la famille, de la volonté et de la force intérieure pour se relever et se réinventer. Jean Bertrand nous rappelle que chacun peut trouver le chemin vers un avenir meilleur, quelle que soit la complexité de son passé.
Herby N. Déronselé
Les candidats potentiels intéressés et qualifiés désireux d’étudier au Canada peuvent dès maintenant postuler pour les bourses d’études McCall MacBain de l’Université McGill pour l’année 2023. Les inscriptions sont ouvertes.
La bourse McCall MacBain offre une couverture totale des frais de votre programme de maîtrise ou professionnel, ainsi qu’une allocation de subsistance pour vos dépenses quotidiennes pendant vos études. Si vous devez déménager à Montréal, une aide financière supplémentaire vous sera fournie.
En tant que bénéficiaire de cette bourse, vous bénéficierez d’un soutien complet grâce à un mentor, un coach et des conseillers qui seront là pour vous accompagner et vous conseiller. Ce programme vise non seulement à développer vos compétences en leadership, mais aussi à vous offrir des opportunités d’apprentissage et d’exploration de vos intérêts.
Table des matières
Résumé de la bourse
- Pays hôte : Canada
- Étudier à l’étranger : Étudier au Canada
- Catégorie : Bourses d’études supérieures | Bourses de maîtrise
- Pays éligibles : tous les pays
- Récompense : Bourse complète
- Frais de scolarité
- Allocations annuelles de 24 000 $
- 20 000 $ de récompenses supplémentaires pour les finalistes
- Allocation de déménagement
- Date limite : 24 août 2023
Détails de la bourse
La cohorte 2024 des bourses McCall MacBain est désormais ouverte aux candidatures. Cette année, jusqu’à 20 bourses seront attribuées à des Canadiens (citoyens, résidents permanents et réfugiés) et 10 autres seront décernées à des candidats internationaux, tous sélectionnés pour rejoindre la prestigieuse bourse McCall MacBain lors de leur admission en 2024.
En tant que candidat à cette bourse, vous serez également éligible à d’autres bourses supplémentaires. Environ 100 finalistes et lauréats régionaux se verront offrir des récompenses spéciales pour ceux qui se distingueront lors du processus d’entrevue.
Conditions de bourse
Pour être éligible aux bourses McCall et MacBain, vous devez remplir les critères suivants :
- Vous pouvez soumettre votre candidature pour la bourse McCall MacBain en 2023 si vous avez l’intention de postuler pour l’admission à un programme de maîtrise à temps plein ou à un programme de premier cycle professionnel de deuxième entrée à l’Université McGill pour l’été ou l’automne 2024.
- Le programme choisi doit comprendre un minimum de 45 crédits et se dérouler principalement sur les campus du centre-ville ou de Macdonald de l’Université McGill.
- Les candidats doivent répondre aux exigences minimales en matière de diplôme et de compétence linguistique pour être admis dans le programme de maîtrise de McGill.
- Vous devez être titulaire d’un baccalauréat ou d’un équivalent reconnu, ou être en voie de l’obtenir d’ici août 2024.
Durée et récompense de la bourse
- En tant que lauréat de la bourse McCall MacBain, vous bénéficierez d’un financement complet pour suivre un programme de maîtrise ou un programme de premier cycle professionnel de deuxième entrée à l’Université McGill.
- Cette bourse couvre intégralement les frais de scolarité et les dépenses liées à toute la durée normale de votre programme de maîtrise ou professionnel. De plus, vous recevrez une allocation de subsistance mensuelle de 2 000 $ CA pendant les trimestres universitaires, ainsi qu’une subvention de déménagement si vous devez vous installer à Montréal.
- En tant que candidat à la bourse McCall MacBain, vous serez également éligible à d’autres bourses supplémentaires. Les autres candidats, y compris les candidats américains, peuvent concourir pour 20 prix de finalistes internationaux, d’une valeur de 20 000 $ chacun.
- En rejoignant une cohorte d’universitaires issus de différents domaines, vous participerez à un programme intensif de développement du leadership, comprenant des séminaires avec des études de cas, conçu pour vous aider à relever avec succès des défis complexes et à accroître votre impact.
- Chaque boursier se verra attribuer un mentor expérimenté et bienveillant, ainsi qu’un coach professionnel et des conseillers, pour offrir un soutien complet tout au long de votre parcours.
- En plus de renforcer vos compétences en leadership, vous aurez également l’opportunité d’approfondir vos connaissances et de cultiver votre curiosité dans un environnement stimulant et enrichissant.
Méthode d’application
Avant de postuler à la bourse McCall MacBain, vous devez faire une demande d’admission séparée et être accepté dans un programme d’études supérieures éligible à l’Université McGill. Assurez-vous d’examiner attentivement les conditions d’admission spécifiques du programme souhaité, y compris, mais sans s’y limiter, les exigences relatives à la GPA, bien à l’avance.
- Les entrevues régionales pour les candidats auront lieu du 12 octobre au 1er décembre 2023. Si vous êtes sélectionné comme finaliste, vous participerez à ces entretiens.
- Le début des cours pour les boursiers retenus est prévu pour septembre 2024, donnant ainsi l’occasion aux candidats réussis de bien se préparer pour leur expérience universitaire.
Date limite : 24 août 2023
Nous, passionnés du Canada, avons créé le site Discrétion Show dans le but de t’aider à concrétiser ton projet d’immigration. Il est important de noter que nous ne sommes pas des avocats spécialisés en immigration et que nous n’avons aucun lien avec le gouvernement fédéral du Canada, les provinces ou les territoires canadiens.
Cependant, nous mettons à ta disposition nos connaissances pour t’accompagner dans ton parcours d’immigration au Canada. Notre objectif est de te fournir des informations utiles et de te guider tout au long de ton projet d’immigration.
Herby N. Déronselé
Il est important de noter que, contrairement à un visa de réinstallation permanente, un visa de visiteur seul ne permet pas de s’installer de manière permanente. Par conséquent, il est essentiel de s’assurer d’avoir les éléments nécessaires pour modifier votre statut pendant votre séjour au Canada.
De plus en plus de personnes ayant un visa de visiteur canadien me posent des questions sur les possibilités de changer leur statut pendant leur séjour, afin de pouvoir rester légalement au Canada et éventuellement devenir résident permanent ou citoyen.
Il convient de souligner que, même si le Canada permet de demander un autre statut pendant votre visite, certaines exigences doivent être respectées. Explorons-les ensemble.
1) Visa de visiteur au permis de travail
Les titulaires d’un visa de visiteur peuvent demander un permis de travail (après avoir obtenu un emploi éligible). La politique temporaire permettant cela a été prolongée jusqu’au 28 février 2025. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet ici.
Pour ce faire, un Visiteur doit :
- avoir un statut de visiteur valide
- avoir une offre d’emploi valide (principalement soutenue par une EIMT d’un employeur) ou un emploi exempté d’EIMT répertorié ici
- demander un permis de travail spécifique à l’employeur.
Il est important de comprendre que si vous êtes un visiteur au Canada, il est illégal de travailler uniquement avec un visa de visiteur. Vous devez d’abord obtenir une offre d’emploi valide, obtenir une Étude d’impact sur le marché du travail (EIMT) dont vous aurez probablement besoin de la part de votre employeur, puis faire une demande et obtenir un permis de travail.
Prenez note de cela et planifiez en conséquence.
Une fois que vous avez obtenu une offre d’emploi valide et les autres documents nécessaires, tels que l’EIMT de votre employeur, vous avez deux options pour demander un permis de travail. Vous pouvez soit soumettre votre demande de permis de travail en ligne pour obtenir le permis par voie électronique, soit vous rendre à une frontière terrestre (entre les États-Unis et le Canada) et effectuer une demande de permis de travail par le biais du processus de flagpoling.
Vous pouvez en savoir plus sur le processus de flagpoling ici .
2) Visa de visiteur pour permis d’études
Pendant leur séjour au Canada, les détenteurs d’un visa de visiteur ont également la possibilité de demander un permis d’études.
Pour ce faire, un visiteur doit :
- Avoir un statut de visiteur valide.
- Posséder une lettre d’admission et d’acceptation d’un établissement d’enseignement désigné.
- Faire une demande de visa d’études en ligne.
Cela signifie que la procédure de demande d’un visa d’études pendant une visite au Canada est similaire à celle effectuée depuis l’extérieur du pays.
Vous devez toujours soumettre votre demande de visa d’études en ligne sur le portail de l’IRCC (Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada). Une fois approuvée, vous devrez vous présenter à un point d’entrée pour obtenir votre permis d’études.
Une fois que votre demande de visa d’études en ligne est approuvée, vous avez deux options pour obtenir votre permis d’études. Vous pouvez soit sortir du Canada et y revenir par voie aérienne en tant que nouvel étudiant (pour recevoir le permis d’études), soit vous rendre à une frontière terrestre (entre les États-Unis et le Canada) et effectuer une demande de permis d’études en utilisant le processus de flagpoling.
Il est important de prendre note de ces exigences afin de vous préparer à l’avance et de planifier avant de décider d’immigrer avec un visa de visiteur. Veuillez noter que la durée maximale de séjour en tant que visiteur est de 6 mois à chaque visite.
Alors, planifiez en conséquence en gardant cela à l’esprit.
Si vous êtes le conjoint d’un étudiant qui suit un programme éligible au permis de travail post-diplôme (PGWP) au Canada, ou si vous êtes le conjoint d’un diplômé international déjà titulaire d’un PGWP, vous bénéficiez d’une exemption.
Les conjoints de ces étudiants internationaux n’ont pas besoin d’une offre d’emploi ou d’une Étude d’impact sur le marché du travail (EIMT) pour obtenir leur propre permis de travail ouvert en tant que conjoint.
Nous, passionnés du Canada, avons créé le site Discrétion Show dans le but de t’aider à concrétiser ton projet d’immigration. Il est important de noter que nous ne sommes pas des avocats spécialisés en immigration et que nous n’avons aucun lien avec le gouvernement fédéral du Canada, les provinces ou les territoires canadiens.
Cependant, nous mettons à ta disposition nos connaissances pour t’accompagner dans ton parcours d’immigration au Canada. Notre objectif est de te fournir des informations utiles et de te guider tout au long de ton projet d’immigration.
Herby N. Déronselé
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